18 janvier, 2008

Lima-Rio en 80 jours (25e épisode et fin)

Ce carnet rassemble des notes et des photos prises lors d’un voyage réalisé en 1987.Il s’agit, comme le titre l’indique, d’une traversée d' Ouest en Est de l’Amérique latine ayant pris environ 3 mois (octobre, novembre, décembre) en utilisant les moyens de transports locaux les plus divers et surtout les moins coûteux : auto-stop, trains, bus, camions, barge, vélo et marche....


Et voici le 25e et dernier épisode de ce carnet voyage dont la fin aura été quelque peu tronquée (problèmes de santé et, accessoirement, problèmes d’appareil-photo évoqués dans le précédent billet).
Les quelques images présentées ci-après en guise d’épilogue évoquent les deux dernières étapes notables de ce voyage, à savoir un petit séjour sur l’île (apparemment) paradisiaque de Moro de Sao Paulo (à deux heures de navigation au large du petit port de Valença/ Etat de Salvador) et enfin Rio de Janeiro.
Je remercie celles et ceux qui auront eu la patience de lire ce petit journal de bord jusqu’au bout et leur promets que le prochain journal (d’ici une quinzaine de jours) sera un peu plus consistant dans le fond et la forme ! (du moins, j’essaierai !!!)
(Pendant la traversée vers Moro
de Sao Paulo)









(Le port de Valença, région réputée pour sa production de poivre noir!)
(Moro de Sao Paulo, l'embarcadère)
(Le cimetière)

Rio de Janeiro




11 janvier, 2008

Lima-Rio en 80 jours (24)

Ce carnet rassemble des notes et des photos prises lors d’un voyage réalisé en 1987.Il s’agit, comme le titre l’indique, d’une traversée d' Ouest en Est de l’Amérique latine ayant pris environ 3 mois (octobre, novembre, décembre) en utilisant les moyens de transports locaux les plus divers et surtout les moins coûteux : auto-stop, trains, bus, camions, barge, vélo et marche....

Après une longue période d’assoupissement (c’est l’hiver, et j’ai une fâcheuse tendance à m’engourdir en cette saison), voici la suite et…..la fin de ce carnet « Lima-Rio ». Une fin qui semblera un peu abrupte d’autant que ce voyage s’ est encore prolongé une bonne quinzaine de jours (jusqu’au 27 décembre 87) après la fameuse croisière sur le Rio Sao Francisco. J’ai aussi hésité longtemps quant à la manière de poursuivre ce carnet car en réalité
en date du 9 décembre 87, je n’ai plus rien noté dans mon journal de bord ! En effet, probablement en raison de mes problèmes de santé de l’époque (état de faiblesse généralisée, douleurs violentes au niveau du foie) je n’avais plus guère l’énergie d’ écrire au jour le jour et parfois je n’avais même plus envie de prendre des photos. Il faut dire que mon appareil avait fait une lourde chute et qu’il ne fonctionnait plus très bien : je ne pouvais plus l’utiliser que sur une seule position, le 60e de seconde, et comme la cellule ne fonctionnait plus non plus je devais trouver le « bon » diaphragme au « pif ». Enfin, et pour revenir brièvement sur les malaises que je ressentais depuis quelques semaines, il s’avérera par la suite que j’avais en réalité contracté une hépatite qui me laissera par ailleurs sur le carreau de longs mois après ce voyage.

Plutôt que de tenter de reconstituer de manière approximative les derniers jours de ce voyage, j’ai préféré livrer un petit reportage photographique assortis ça et là de quelques légendes pour évoquer les deux dernières semaines de ce périple, les dernières centaines de kilomètres séparant Bahia de Rio, terme de ce voyage.
Enfin, à celles et ceux qui ont l’habitude de consulter ce blog, j’adresse mes meilleurs vœux et leur souhaite de réaliser leurs rêves les plus fous. Il n’y a pas de temps à perdre pour cela !


(Bahia, en fin de journée, deux enfants jouent au foot pieds nus dans la rue) (Bahia, quelques jolies façades près du port)

(Bahia, quelques jolies fesses pas loin du port)

(Marchande de "beignets")

(Un des marchés de Bahia. A noter, la publicité pour la bière Brahma. Cette marque fait à présent partie du groupe brassicole Inbev -Jupiler, Stella, etc...-)

(L'étal de ce poissonnier est une brouette)

(Bahia, scène de rue dans le centre avec à l'arrière-plan la curieuse architecture de la caserne des pompiers)

(Bahia, un groupe de percussionnistes répète dans la rue, spontanément des passants se sont mis à danser)

(Bahia,le vieux quartier du Pelourinho)

(Un autre angle du quartier du Pelourinho)

(Bahia, un dimanche après-midi sur la plage)


Dans quelques jours la suite de l'épilogue......